En 2017, nous faisons la connaissance de Ludovica Andrina, créatrice de bijoux italienne. Nous tombons sous son charme et celui de ses créations et commençons à travailler pour elle afin d’accroître sa notoriété dans les médias.
Or, plus le temps avance, plus nous nous rendons compte que son histoire compte autant que ses bijoux et jusqu’ici, nous n’avons pas beaucoup parlé d’elle. Pour une bonne raison : elle ne le fait pas elle-même.
Suite à une analyse poussée, aussi bien du marché que de la marque elle-même, nous décidons de mettre en pause les relations presse pour mieux reconstruire les bases. Après tout, notre métier n’est-il pas de diffuser les histoires ? Si l’histoire n’est pas écrite, alors, nous allons le faire aussi.
Nous passons quelques heures avec Ludovica pour qu’elle nous raconte encore plus en détail la genèse de sa marque, ses envies… Et nous écrivons son histoire.
En posant des mots sur ce qu’elle n’arrivait pas à exprimer elle-même, nous avons permis à Ludovica de structurer son discours. Elle sait comment dérouler son histoire, comment partir de la genèse pour arriver à ses créations. Parfois, il est bon et nécessaire de faire appel à une personne extérieure pour raconter son histoire. Le recul n’est pas toujours facile et des éléments qui pourraient nous sembler anodins peuvent en fait être de véritables points de différenciation et leviers de communication. En construisant son histoire, nous avons aussi, de notre côté, appris à la raconter de façon plus fluide et la transmettre avec encore plus de passion. Depuis ce retravail, nous avons senti un réel regain d’intérêt de la part des médias et Ludovica, elle, a réussi à exposer au Salon Première Classe Tuileries.